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    Aftershokz, 3 ans d’utilisation

    Il y a trois ans, une marque de casque audio m’a écrit afin que je reçoive un de leur produit et que je teste leur technologie particulière pour écouter de la musique.

    Le topo ? C’est la conduction osseuse qui vous permet d’entendre le son qui sort de vos écouteurs ! Et cela apporte plein de points positifs dans notre pratique sportive.

    aftershokz france

    Avant d’utiliser ces casques là, je rencontrais deux problèmes en courant avec de la musique:

    • Je me retrouvais trop vite dans ma bulle, j’étais moins attentive à ce qui m’entourais et je n’entendais pas toujours les voitures, les personnes qui arrivaient derrière moi en trotinette, etc. Même si j’adore courir en musique, je trouve que cela peut vite être dangereux de ne pas entendre ce qui se passe autour de soi.
    • Les écouteurs intra-auriculaires tenaient très mal dans mes oreilles. Un mouvement de tête trop rapide , trop de sursauts pendant la course et l’écouteur tombait..

    Alors comment la technologie intra-osseuse m’a convaincu ?

    Je n’ai plus d’écouteurs dans les oreilles mais un transducteur sur chaque tempe. Ce sont les vibrations de ces appareils qui vont conduire le son via les os jusqu’à l’oreille interne !

    Cette technologie n’est pas nouvelle. Cela fonctionne si bien, que des personnes atteintes de certaines formes de surdités reçoivent des implants à conduction osseuse afin de contourner la traversée de l’oreille externe et moyenne.

    Comme se sont des transducteurs qui font passer le son, notre oreille est donc libérée de l’écouteur qui va boucher les bruits extérieurs. Vous pouvez donc entendre la musique ET ce qui vous entoure. En matière de sécurité c’est beaucoup mieux ! De plus, je trouve ces casques très conforts pendant l’effort. Je n’ai plus besoin de me concentrer sur d’éventuelle chutes d’écouteurs pendant mon entrainement.

    Vous préservez aussi vos tympans car ceux-ci sont mieux protégés par ce type de technologie.

    AfterShokz titanium
    Le Titanium

    J’ai eu l’opportunité de tester deux types de casque.

    Le premier que j’ai reçu c’est celui ci-dessus. Le TITANIUM. J’en étais plus que ravie et jusqu’à il y a quelques mois, je n’utilisais pas d’autres modèles. Donc, de fin 2016 à cet été 2019, je n’ai pas changé car je ne voyais pas ce qui pouvait mieux me convenir ! Pourtant, je peux vous dire qu’en ce laps de temps j’ai reçu plusieurs propositions pour recevoir d’autres casques. Mais, j’ai tellement eu du mal à trouver mon bonheur (et parce que j’essaye de ne pas surconsommer en acceptant trop de propositions sur les réseaux) que je refusais toutes autres demandes de partenariats ! Avant, tous les écouteurs que j’utilisais finissaient par tomber de mon oreille à un moment donné lorsque je faisais du sport.

    Ce modèle existe en deux tailles: mini et normale. Mini pour les mini-têtes (en particulier pour les femmes) car la taille normale avait tendance à être beaucoup trop grande pour nous.

    Comme c’est un casque sans fil, il fonctionne en bluetooth. Il n’est pas étanche mais il est protégé contre les poussières et les jets d’eaux. Il a une bonne autonomie, il y a un micro pour pouvoir recevoir et passer un appel avec. Comme c’est un de leur plus ancien modèle, c’est le moins chère ! En ce moment il est à 64 euros sur Go Sport : ici .

    AfterShokz aeropex
    L’aeropex

    Ensuite, j’ai été contacter de nouveau par la marque début de l’été 2019 afin de recevoir leur nouveau modèle tout beau / tout neuf : l’AEROPEX !

    Je suis donc passée d’un des modèles le plus ancien au tout dernier: j’ai donc vu beaucoup de différences et de points positifs pour ce petit nouveau !

    Le design est beaucoup plus fin et il est aussi plus confortable. Déjà parce qu’il est plus léger: 36g le Titanium pour 26g l’Aeropex. Personnellement je le trouve très joli, il existe de plusieurs couleurs différentes.

    Il y a aussi un meilleur son car l’innovation sur ce casque permet moins de fuites sonores. Les basses sont plus marquées également.

    Ils ont aussi amélioré l’autonomie: 6H pour le Titanium (en écoute continue), 8H pour l’aeropex (en écoute continue).

    Plus besoin de mesurer votre taille de tête, l’arceau est désormais adapté pour tous. La preuve, la taille du casque correspond à mon chéri qui porte le sien très bien. Mais, il est aussi adapté à la taille de ma tête.

    L’aeropex est résistant à l’eau ! Donc pas de panique si il prend la pluie (même si je n’avais jamais eu de soucis avec le Titanium). La marque annonce qu’il supporte 30min sous l’eau à un mètre de profondeur mais je vous avoue que je n’ai jamais essayé ! Je ne nage pas en musique, mais pour ceux que cela intéresse, leur casque Xtrainerz est fait pour cela et vous pouvez charger de la musique dessus.

    Il a toujours la fonction kit main libre, comme les autres modèles de la marque.

    Vous pouvez vous le procurer, à 169 euros ici .

    AfterShokz aeropex

    Le seul hic avec ces casques, c’est que si vous voulez écouter de la musique dans votre bulle (par exemple dans l’avion), il faut mettre des boules quies (il y en a dans le colis lorsque vous commandez un casque).

    Je n’ai aucun problème pour utiliser mon casque avec mes lunettes sportives. Cela ne me gène pas du tout ! Bien sur, avec l’Aeropex qui est plus fin c’est encore mieux ! Aucun problème non plus avec mes bandeaux l’hiver.

    AfterShokz runamande

    Voilà, j’espère que mon retour d’expérience et cet article vous ont plu !

    N’hésitez pas si vous avez des questions, je suis désormais depuis quelques petits mois ambassadrice pour la marque et j’essaierais de répondre le mieux possible à vos interrogations ☺️

    Sportivement,

    Article sponsorisé par Aftershokz

    runamande
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    SPORTS

    PRÉPA IRONMAN #1

    Hello !

    Je reviens aujourd’hui avec une nouvelle série d’articles qui auront comme sujet principal ce que je mets en place pour ce rêve sportif 2019: l’IRONMAN de Nice !

    Pour commencer, j’ai envie de (re ?)faire le point du pourquoi du comment j’en suis arrivée à m’inscrire à cette course.

    Comme je vous l’ai déjà expliqué j’ai toujours baigné dans le sport grâce à mes parents et d’autres membres de ma famille.

    J’ai pratiqué différents sports et plusieurs étés d’affilés (mais aussi en 2012) j’ai participé à un petit triathlon qui s’organisait à côté de ma ville d’enfance. 

    Au départ, je le faisais en relai avec mes soeurs où j’étais souvent inscrite sur la partie natation. Je pense que, grâce à cette pratique adolescente, j’ai pu désacraliser la nage en eau libre et cela m’aide aujourd’hui lors des compétitions car je ne panique pas à cause des coups que l’on peut recevoir dans l’eau. 

    natation en eau libre

    Par exemple, j’ai fais très peu de ski et aujourd’hui je panique facilement lorsque je suis sur une piste car je pense trop, je n’ai pas désacralisé ce sport plus jeune donc j’ai peur plus rapidement que d’autres ! (C’est mon point de vue et mes réactions mais heureusement ce n’est pas le cas de tout le monde).

    BREF, après avoir participé en 2012 à mon premier triathlon en solo, je me suis concentrée sur la course à pied pour finalement revenir à cette envie de participer à des triathlons.

    J’ai commencé à suivre Marine Leleu sur les réseaux sociaux et elle m’a fait découvrir les courses du label Ironman, elle partageait avec nous ses participations et elle m’inspirait beaucoup (encore aujourd’hui d’ailleurs !).

    Mais l’envie de m’inscrire est arrivée après avoir vu en live l’Ironman de Nice avec les copains du Happy Running Crew, ce jour là j’ai été tellement émue et j’ai vibré avec les participants de cette course. J’ai décidé qu’un jour, moi aussi, je le ferais. Mais pour commencer, ce même été 2017, je courrais mon premier triathlon M avec mon amie Elise !

    C’est ainsi que je me suis inscrite à l’Ironman 70.3 de Vichy 2018 dans le but de participer à l’Ironman de Nice l’année suivante. 

    Maintenant que j’ai retracé cette histoire, je vais vous expliquer ce que j’ai mis en place pour atteindre cet objectif.

    J’ai été pendant 4 ans infirmière militaire dans un Hopital d’Instruction des Armées. Je n’avais pas les mêmes horaires/temps de travail que dans le civil mais j’avais des permissions un peu plus nombreuses. Ces horaires me permettaient quand même de tenir le plan d’entrainement pour une participation à un Ironman 70.3 mais mon coach avait été clair: pour un Full Ironman ça risquait d’être très compliqué et il ne m’aurait pas suivi dans l’aventure.

    coach half ironman

    La vie a fait que j’ai décidé de quitter l’armée pour suivre mon amoureux dans sa mutation. 

    L’occasion était donc là de faire de nouveaux choix pour réaliser mon rêve. 

    LE TRAVAIL

    J’ai donc décidé de travailler à temps partiels en 12H. J’ai postulé pour un poste comme celui-ci qui se libérait à 50min de chez moi. Je travaille donc 2 à 3 fois par semaine mais je pars de chez moi pendant presque 15H. Ces journées là je ne peux donc pas m’entrainer mais le reste de la semaine je suis en repos et mon coach en profite pour y caler mes entrainements. 

    J’ai donc fais un choix financier plus compliqué que mes premières années de boulot mais je sais pourquoi je l’ai fais. Et c’est là où il faut comprendre que la préparation d’un Ironman , le triathlon en général, c’est aussi un mode de vie. En tout cas c’est ma vision des choses et il faut aussi respecter son corps et ses capacités. Pour cette décision de m’inscrire à un full Ironman je savais que j’allais devoir changer quelques habitudes dans ma vie.

    L’année dernière, je courrais souvent avant ou après une nuit, avant ou après une journée de travail pour caser les entrainements. Je n’habitais pas loin de l’HIA et je pouvais encore courir en sortant du boulot où parfois même j’y allais ou je rentrais en courant. Généralement ce n’était pas des séances très longues que David m’indiquait de faire les jours de boulot.  Mais la course à pied qui m’attendait à la fin de l’Ironman 70.3 c’était un 21KM.

    En juin, c’est un marathon qui termine ce triathlon XXL. Donc, les sorties sont plus longues et la préparation est différente. Je ne peux pas aller courir 1H ou plus avant le boulot (alors que je commence à 7H et que je pars de chez moi à 6H) pour ensuite bosser plus de 12H (parce qu’on ne finit jamais à l’heure entre les urgences, la relève etc) et ensuite conduire pendant 50min et rentrer à 21H30 pour essayer d’aller courir et rentrer à presque 23H pour manger et me coucher. Ça n’aurait aucun sens et ce ne serait pas très intelligent.

    Bref, c’est la décision que j’ai prise pour préparer sereinement ma course, respecter mon corps, avoir du temps avec mes proches et surtout pouvoir me reposer mais aussi faire le métier que j’aime sans mettre mes patients en danger, ou moi-même sur la route, avec une trop grosse fatigue accumulée. 

    beagle et moi

    L’ALIMENTATION

    Avant, comme je vous l’ai expliqué dans un article dédié à mon rapport à l’alimentation, je mangeais sans réfléchir et selon mes envies.

    J’ai décidé que, pour ce challenge sportif qui m’attendait, j’allais changer et me faire accompagner de ce côté là. 

    J’ai donc une diététicienne qui me suit. Ça se passe super bien, on trouve des solutions face à mon système digestif capricieux, elle va m’aider à préparer, tester etc ce que je mangerais le jour J de l’Ironman, ce que je mettrais dans mes sacs de transitions,… Avant, pendant et après la course quoi ! 

    Je n’ai pas envie de réfléchir à tout ça au dernier moment donc on prépare le terrain pour le 30 juin 🙂.

    natation

    LE REPOS

    J’essaye de ne plus avoir une vie à 100 à l’heure, de prendre le temps de me reposer, de laisser mon corps récupérer et surtout j’essaye d’apprendre à me coucher avant 00H ! 

    Le sommeil c’est important pour que les muscles récupèrent et même si c’est difficile car je me laisse vite embarquer par les séries Netflix, un bon bouquin, les réseaux sociaux, Youtube et j’en passe,.. J’essaye de petit à petit décaler mon heure de dodo et j’ai déjà réussi à gagner une petite heure ! 😅

    beagle dormeur

    L’ENTRAINEMENT

    Comme l’année dernière, je suis religieusement mon plan d’entraînement et les consignes du coach. Et surtout j’essaye de NE PAS ME COMPARER AUX AUTRES PERSONNES QUI PREPARENT UN IRONMAN ET QUI PARTAGENT LEURS ENTRAINEMENTS SUR INSTAGRAM OU STRAVA. Je le mets en lettres capitales car c’est un conseil que je vous donne très souvent mais je pense sincèrement que la comparaison, de qui en fait le plus ou le moins, est mauvaise pour être bien dans votre tête et pour l’entraînement. Se soutenir OUI, se rabaisser, se culpabiliser, se remettre en question sans arrêt ou vouloir copier le plan des autres NON. Nous sommes tous différents, nous n’avons pas tous les mêmes objectifs, les mêmes capacités ou les mêmes entraîneurs. Et encore plein d’autres choses que nous n’avons pas en commun car nous sommes tous des êtres humains différents.

    entraînement avec le coach

    J’ai choisi un coach, avec qui ma prépa pour Vichy s’est super bien passée, donc je lui fais confiance et je l’écoute. Même si vous trouvez ou si vous avez quelque chose à redire sur mon entrainement, c’est gentil de vous inquiéter pour moi ou de vouloir me dire quoi faire, mais si je commence à remettre en question les décisions de David autant en changer et ce n’est pas du tout ce que je souhaite faire !

    LE MENTAL

    Mon gros point faible ! Le fait de travailler sur mon développement personnel au quotidien est une chose mais je le travaille aussi d’un point de vue sportif. J’ai du mal à me mettre dans le rouge, je me protège beaucoup, j’ai peur de ne pas aller au bout de l’entraînement alors je fais trop attention, je m’écoute beaucoup trop et ça me frustre ! 

    entrainement

    Pour cela, je travaille mon mental avec des Podcasts super interessants de Girl Boss, sur la course à pied, des histoires de vie, des témoignages ou interviews et ça m’aide beaucoup ! (Voici quelques noms de Podcasts: Nouvelle Ecole, Change ma vie, Transfert, Dans la tête d’un coureur, Le Gratin…)

    Je lis aussi un bouquin que ma copine @outsidewithanna m’a prêté : « Autohypnose et Performance sportive » de Jonathan BEL LEGROUX. Il est top et m’aide déjà beaucoup.

    Voilà, un petit point sur ce premier gros mois de préparation ! Il s’est terminé malheureusement avec une contracture mais j’ai, comme l’année dernière, un kiné qui me suit et c’est top pour soigner les petits bobos, récupérer, avoir des conseils là dessus et surtout je prends soin de la machine dans laquelle j’évolue et grâce à laquelle je peux faire tout ça: mon corps 🙂.

    dJ’ai une collaboration de trois mois avec COMPEX qui me permet de compléter le kiné, le repos et les massages pour récupérer des entrainements ! Je ferais un article à la fin de celle ci pour vous dire ce que j’en ai pensé avec l’avis de ma soeur (kinésithérapeute) et de mon amoureux (médecin). J’espère que ça vous plaira !J’ai donc pris mon mal en patience, je suis en train de finir deux semaines plus light et ma vilaine contracture a l’air d’être bien partie pour disparaitre !

    C’est donc la fin de ce premier article sur ma prépa, je trouve cela interessant de retracer ici ces mois d’entraînements jusqu’au jour J ! Et ça me fera des souvenirs pour plus tard ! 😃.

    Je pense aussi faire quelques vidéos vlog de « semaine de préparation » !

    A très vite, 

    Sportivement, 

    runamande

     

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    SPORTS

    Je teste le Centre Nationale d’Entrainement en Altitude ! (Vlog)

    leonie periault

    A l’occasion de la gamme Nike Run Utility, j’ai été invitée grâce au Go Sport Crew à passer un week end à Font-Romeu !

    BON VISIONNAGE ♥
    Clique ici pour t’abonner. 

    ✾DANS CETTE VIDÉO ✾

    • La gamme NIKE RUN UTILITY.

    • Le Centre Nationale d’Entrainement en Altitude.

    Merci à Go Sport de m’avoir fait entrer dans la team du Go Sport Crew.

    Pour en revenir aux équipements: c’est une gamme de vêtements conçue pour affronter toutes les intempéries ! Je vous en parle plus longuement en fin de vidéo. Pour résumer: les baskets Pegasus Shield 35 sont déperlantes donc l’eau ne passe pas à travers lorsque l’on met son pied dans la neige ou dans une flaque d’eau. Tous les autres vêtements Nike Utility partagent les mêmes caractéristiques ! Le but ? Affronter n’importe quelle météo avec cette collection !

    J’espère que cette vidéo vous plaira !

    A très vite,

    runamande

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    SPORTS

    NOUVELLE SAISON SPORTIVE ET NOUVEAUX DÉFIS

    Cette saison 2018 a été riche en émotion sportive. J’ai couru la course que j’attendais le plus cet été et j’ai un nouveau gros projet en tête. Mais avant de vous parler de celui-ci et de cette nouvelle saison 2018-2019, je vais revenir sur celle qui vient de se terminer.

    trifonction ceramiq

    Pour la troisième année consécutive, j’avais renouvelé ma licence en club d’athlétisme.

    J’ai participé aux cross hivernaux (pour la seconde fois) en compagnie de mes collègues de club et j’ai adoré ça. J’ai ensuite participé à un 10KM afin de faire baisser mon temps sur cette distance. Pari réussi: 43min15s et très contente de moi car mon plus gros bloquage sur cette distance est dans ma tête et j’ai réussi à me battre contre mes pensées négatives afin de ne pas lâcher mon objectif de vue !

    Cette course était en mars et ensuite je me suis concentrée avec le coach qui m’accompagne depuis Janvier 2018 (David X3S) sur l’half Ironman de Vichy. J’ai réalisé cette course non sans émotions et accompagnée de personnes formidables. Si vous voulez voir ou lire mon compte rendu sur ce triathlon, c’est par ici.

    cross feyssine

    J’ai quand même participé à trois canicross et je me suis encore bien éclatée avec Loxen (Vous pouvez visualiser ou lire mes comptes rendus de ces courses là: ici, ici et ici !).

    J’ai aussi eu la chance de partie à Las Vegas pour le semi-marathon et je vous en parle là. Enfin, j’ai fais un super séjour au Mont Saint Michel avec les copains pour courir un marathon en relai (c’est ici pour lire l’aventure) ! C’est important d’avoir des courses sans réel objectif et pour le fun 😃.

    10KM

    Maintenant, la saison 2018-2019 commence et j’ai déjà quelques courses de prévues dont une qui sera mon plus grand challenge:

    • La Saintexpress (44KM de trail de nuit)
    • Le Marathon de Paris
    • L’Half Ironman d’Aix-en-Provence (ou un triathlon L)
    • L’Ironman de Nice
    • Quelques canicross pour le plaisir de courir avec ma boule de poils.

    Pour réaliser mon rêve et, j’espère, venir à bout de l’Ironman de Nice (3,8KM de natation, 180KM de vélo et un marathon), j’ai signé une année consécutive avec mon coach David. Je n’ai pas repris de licence d’athlétisme mais je vais voir pour m’inscrire en club de natation pour l’accès piscine et des conseils de nage. Je ne sais pas encore comment je vais faire car cela va dépendre de ma nouvelle vie et des structures autour de mon futur chez moi. Je quitte Lyon donc il y a forcément des habitudes qui vont changer ! Je ne serai pas très loin du Mont Ventoux donc j’aurais de quoi travailler le profil du parcours vélo qui m’attendra à Nice !

    half ironman vélo

    Bref, cette année sera riche 😄. Je continuerai de voir un Kiné ou un Ostéo régulièrement pour prévenir les blessures, je vais faire plus attention à mes apports alimentaires et comme je change de lieu de travail j’aurai des horaires plus flexibles pour m’entrainer (je pense faire infirmière intérimaire jusqu’à Nice) ensuite on verra ce que la vie me réserve !

    L’occasion s’est présentée pour me lancer dans l’aventure car ma vie personnelle et professionnelle me le permet. Alors, j’ai hâte de voir ce que cette année va me réserver: le triathlon est un sport incroyable. Cette année j’ai vécu le sport dans une autre dimension, j’ai énormément appris sur moi et j’ai pris confiance en moi.

    coiffure triathlon

    Même si le rythme qu’impose ces épreuves n’est pas toujours simple à tenir quand on sait pourquoi on le fait: on ne sent pas prisonnier de nos entrainements. J’ai dû parfois me mettre des coups de pieds aux fesses pour faire ma séance après plus de 12H de boulot aux urgences mais la passion du sport arrivait toujours à prendre le dessus sur la procrastination.

    Faites les choses avec passion et vous trouverez la patience et l’énergie nécessaire pour atteindre votre but !

    Et vous, qu’avez vous de prévu cette année ?

    Sportivement,

    runamande

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    HUMEURS

    COMPARAISON

    Je vous en avais un peu parlé dans mon article sur la « déculpabilisation sportive » mais je voulais aborder un autre angle de ce sujet.

    Je ne pense pas que se comparer dans la vie soit une bonne chose. Je crois qu’il y a une barrière entre s’inspirer d’une personne: se motiver en lisant ses posts, se dire qu’elle aussi, parfois, elle est fatiguée, comprendre que ses entrainements ne sont pas toujours faciles etc. Et se comparer: se dire qu’elle en fait plus que nous et qu’on n’est pas à la hauteur, vouloir tout faire pareil, etc.

    beagle

    Non ce n’est pas comme ça que cela doit fonctionner. Vos réseaux sociaux ne doivent pas vous miner le moral. Si vous sentez que vous suivez des personnes toxiques qui vont font culpabiliser dans leur manière de partager, si vous sentez que suivre une personne au lieu de vous pousser vers le haut , cela vous ronge le moral. Si vous sentez que son partage n’est pas bienveillant: faites comme moi, supprimez le compte, ne vous attardez pas à suivre des personnes (même si elles ne sont pas conscientes de véhiculer un message culpabilisant) qui vous rendent négatives sur votre pratique.

    Idem sur Strava: Soit vous arrivez à suivre et partager avec les autres sans vous mettre une pression négative. Soit cela est trop dur pour vous de prendre du recul sur la pratique des autres et ce réseau n’est pas pour vous.

    Je vois Strava comme une source d’encouragement, de kudos et de like à distribuer pour s’entraider et se soutenir. Mais je sais qu’il y a beaucoup de personnes qui le ressentent comme une compétition de qui fait le plus etc. Je pense que cela dépend aussi du regard que l’on porte sur cette application, de qui l’on suit (comme sur instagram: il y a des gens qui ont un partage plus culpabilisant que d’autres) etc.

    Je sais que je préfère partager mes entrainements sur Strava avec des personnes qui recherchent ce type de publications que de le faire sur instagram ou cela peut etre un peu lourd.

    run with beagle

    Je pense que dans la vie tout est une question d’équilibre, de point de vue et de prise de recul.

    Il faut prendre de la distance avec la pratique des autres: regardez leurs objectifs, leur passé, leur travail, leurs possibilités de récupération, etc.

    Vous vous rendrez vite compte que nous sommes tous différents et que ça ne sert à rien de se comparer à une championne olympique ou à une fille qui prépare son 15ème marathon quand vous vous préparez pour votre premier 10KM.

    Essayez de ne prendre que le positif de ce qui vous entoure et si vous n’y arrivez pas, faites un petit ménage, une pause ou autre. Faites le point avec vous même et demandez vous ce que vous recherchiez à la base lorsque vous vous êtes inscrits sur ce(s) réseau(x) ? Revenir à la base permet parfois de se rendre compte des dérives négatives que l’on a pu prendre.

    beaglou

    Et d’un point de vue comparaison physique: faites attention aussi aux comptes que vous suivez: photoshop , chirurgie non avouée, etc. sont parfois bien plus présents qu’on le pense.

    Vraiment, prenez du recul sur tout ce que vous voyez, sur tout ce que vous lisez. Les comptes « post bad » ne sont pas la réalité de la vie des gens. Leur vie n’est pas aussi parfaite que ce qui transparait dans leurs photos. Les gens qui paraissent toujours très positifs ont aussi leurs « coups de mou » mais ils préfèrent souvent ne pas le partager car ils ne veulent pas véhiculer cette partie là de leur vie. C’est leur choix, leur compte, alors c’est à vous de ne pas oublier que la vie des autres n’est pas parfaite non plus. On a tous des casseroles dans les placards (histoires de famille, problèmes dans un couple, engueulades avec nos amis, un ras le bol au travail, des phases de démotivation ou des remises en question sur ce que l’on veut dans la vie; TOUT LE MONDE PASSE PAR LÀ.)

    Idem entre une vie d’étudiante, de jeune maman, de mère de trois adolescents ou vie de jeune active: il y a un monde entre chacune de ces personnes, non ? Une organisation et des priorités différentes selon où l’on se trouve.

    courir avec un beagle

    Alors, si vous devez vous comparer : ne vous comparez qu’à vous même. Jetez un coup d’oeil derrière votre épaule de temps en temps et soyez fiers du chemin parcouru. Puis continuez à aller de l’avant. Inspirez vous des leçons des autres, de leur chemin de vie, motivez vous à travers leurs partages mais surtout ne vous comparez plus.  Ne soyez en compétition qu’avec vos démons personnels mais pas avec les autres. Lâchez prise.

    Décidez de vos objectifs, de ce que vous voulez et trouvez votre moteur pour avancer, pour vous pousser vers l’avant et l’accomplissement de vos rêves. Ils sont plus accessibles qu’on le pense, ce n’est pas que pour les autres. Surtout cessez de vous comparer, préférez vous inspirer des personnes qui vous entourent. On a tout à apprendre des autres et les autres ont tout à apprendre de vous.

    Sportivement,

    runamande

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